Liberté Agape 93 : un chemin vers la Liberté
Définition d’un Droit

DÉFINITION D’UN DROIT

 

Commençons ce post par une petite citation de Rousseau :

 

Qu’est-ce qu’un droit ? La réponse à cette question est essentielle, car si l’on ne connait pas ses droits, nous ne serons jamais en mesure de les protéger.

Il serait impossible d’énumérer tous nos droits, parce qu’il y en a une infinité (droit de courir, chanter, danser, jouer, exprimer son opinion…). Pour définir un droit, nous devons le faire par la méthode apophatique (du grec apophasis, négation), en définissant ce qu’il n’est pas.

Tout le monde connait le dicton :
« La Liberté de chacun s’arrête là où commence celle des autres »

Chacun sait intuitivement ce qu’il a le droit, ou pas le droit de faire vis-à-vis des Lois Naturelles, dicté par sa propre conscience. Si un comportement est moralement incorrect et cause de la souffrance chez un autre être vivant, alors nous n’avons pas le droit de le faire, car il porte atteinte à la liberté de l’autre.

Il y a sept actes qui représentent une transgression des Lois Naturelles et constituent une atteinte à la liberté individuelle de la personne sur laquelle est exercée l’action :

 

 

Toutes ces transgressions peuvent se résumer à une seule : VOL

Le vol d’une propriété d’un individu, que ce soit sa vie, son bien-être, ses objets matériels, sa liberté de choisir, sa liberté de penser, constitue l’unique comportement qui va transgresser des Lois Naturelles.

Si nous exerçons l’une des sept transgressions énoncées précédemment sur un être conscient, alors nous devrons subir les conséquences de cet acte.

Un « être conscient » est un être doté d’une âme individualisée. Le mot « âme » vient du latin « anima », d’où le mot « animal » prend son origine. Le règne animal est inclus dans ce principe universel, car leur niveau d’évolution est suffisant pour leur permettre de se déplacer (d’être « animé ») indépendamment de leur environnement, contrairement au monde végétal. Tuer un animal est une transgression aux Lois Naturelles, contrairement au fait de ramasser une salade.

 

 

En revanche, le niveau évolutif des animaux n’est pas suffisant pour qu’ils puissent reconnaître la différence entre un comportement moral ou non, contrairement à nous, membre de l’espèce humaine.
Voilà pourquoi un lion qui tue une gazelle ne subira pas de répercussion karmique. Cette loi de Cause à Effet ou Karma, est l’un des principes universels de la création.

 

Maintenant, tournons-nous vers le système actuel dans lequel nous vivons et analysons-le à la lumière de cette nouvelle connaissance :

Une entité, ou bien groupe de personne, peut-il posséder plus de droit qu’une autre personne ?

Imaginons une planète avec seulement 2 habitants :

 

Imaginons que l’un des 2 habitants exige à l’autre de lui donner une partie du labeur de son travail, sous la menace de le maintenir captif si cette personne n’obéit pas. Absurde non ?

Imaginons maintenant que l’un des deux interdise à l’autre de boire du jus d’orange sous la menace de le maintenir captif si cette personne n’obéit pas. Également absurde non ? Que ce soit l’interdiction de boire du jus d’orange ou de consommer des drogues, il n’y a pas de différence vis-à-vis des lois Naturelles : il s’agit d’une transgression.

Que ces actes soient réalisés par une personne imaginaire ou un groupe de personnes formant une entité appelée « gouvernement », le résultat ne change pas : il s’agit d’une transgression.

 

 

La croyance qu’une entité ou institution aurait plus de droit que n’importe quel autre être vivant sur cette planète est fausse, et constitue l’idéologie la plus dangereuse jamais créée. Ce groupe de personnes (gouvernement) et les individus qui le défendent (policiers ou militaires), vont justifier des comportements incorrects pour les rendre acceptables.

Le mot « justifier » vient du latin « Justus » = « Juste » et « Facere » = « Faire, rendre », autrement dit « Fabriquer une loi ». 

Ce concept est impossible car aucune loi humaine n’a d’autorité sur la création. Les seules lois qui ont autorités sur les êtres vivants de cette planète sont les Lois Naturelles, et aucune d’entre elles ne peut être modifiée par l’homme. Nous venons donc de prouver que toutes les mesures d’interdiction ou d’obligation mises en place par n’importe quel gouvernement (vaccinations ou confinement obligatoires, interdiction de choisir le mode d’éducation de ses enfants, d’exprimer ses opinions…) constituent une atteinte à la liberté des personnes subissant ses mesures, et constituent une transgression aux Lois Naturelles.
Par conséquent, elles sont illégitimes.

 

 

La solution pour sortir du chao dans lequel nous sommes consiste d’une part à appliquer ce principe de bon sens, autrement dit de « ne pas voler » aux autres ce qui ne nous appartient pas, et d’autre part, refuser de justifier le comportement de ceux qui le font.